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Arsène Wenger is back!

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Arsène Wenger vient d'annoncer son retour sur un banc dès 2019! Après 22 années passées à Arsenal et un break depuis l'été dernier, quel peut être le point de chute du célèbre alsacien? Voici quelques pistes.

Arsène Wenger va reprendre du service! Quelques mois après son départ d’Arsenal, le technicien français affirme qu’il retrouvera un banc dès le mois de janvier 2019. "Je suis reposé et prêt à reprendre le travail", a déclaré Wenger à Sport Bild.

Consultant pour BeIN Sports durant la Coupe du Monde, Wenger va donc bientôt retrouver un club…ou une sélection après ses 22 années passées à Londres!

L’Allemagne intéressée
Arsène Wenger pourrait prendre en main une sélection pour la première fois. Germanophile, il pourrait être le successeur de Joachim Löw si celui-ci venait à quitter ses fonctions.

La Mannschaft traverse des jours sombres. Sortis dès le premier tour du Mondial, les Allemands ont perdu 6 matchs sur l’année civile 2018. C’est du jamais-vu dans leur histoire. Giflés par les Pays-Bas (3-0) puis vaincu par la France (1-2), cette semaine, Hummels et les siens n’ont qu’un seul point au compteur et risquent une relégation en deuxième division de la Ligue des Nations.

Joachim Löw, sélectionneur de l’Allemagne depuis 2006, est grandement fragilisé. Mais Wenger ne risque pas de lui succéder. "J'ai besoin de ma drogue d'entraîner tous les week-ends, quand voius avez connu ça vous ne pouvez plus vous en passer", a déclaré le technicien alsacien.

Sauver le Bayern?
Remettre le Bayern sur les bons rails serait un défi de taille pour Wenger. Décevants, les Bavarois sont aujourd’hui classés 6es sur les 18 clubs de Bundesliga. Ils ont récolté 13 points en 7 journées (4 victoires, 1 nul et 2 défaites).

Mais Niko Kovač, le coach croate du Bayern, n’est pas sur un siège éjectable pour autant. Uli Hoeness, le président du club, a assuré, au magazine Kicker, qu’il défendrait l’entraîneur "jusqu'à la mort". Sauf que dans le monde du foot, tout peut arriver. Bild place même Wenger dans la short list des potentiels remplaçants de Kovač. Nous aussi.

Pourquoi pas le Real?
Aller à Madrid peut être une bonne option pour Wenger. Les bookmakers l’avaient même désigné favori à la succession de Zinédine Zidane, fin mai. Mais Julen Lopetegui est arrivé entre-temps. Aujourd’hui, le Real reste sur quatre matchs sans victoires (toutes compétitions confondues). Et les jours de Lopetegui sont comptés.

Si Wenger a refusé le Real à de multiples reprises dans le passé, aujourd’hui, il est libre, ce qui change tout. "Vous êtes toujours tenté par le Real Madrid", a même récemment confié l’ancien coach des Gunners, au micro de beIN Sports. Difficile de faire plus explicite. 

 

 

 

 

Par Oumeïma Er-rafay

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