Lever de rideau ce mardi sur le Festival international du théâtre universitaire de Casablanca

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La 29ème édition du festival international du théâtre universitaire de Casablanca démarre ce mardi 4 juillet au complexe culturel Moulay Rachid. C'est le ballet de Milan qui ouvre le Bal. Demandez le programme.

Le 03/07/2017 à 19h15

Casablanca abrite à partir de ce mardi 4 juillet la 29ème édition du festival international du théâtre universitaire. Le FITUC, qu’on ne présente plus, fait partie des plusieurs anciens rendez-vous culturels de la métropole. Un rendez-vous, lancé par la Faculté des lettres et des sciences humaines de Ben M’sik de Casablanca.

«Le Festival international du théâtre universitaire de Casablanca a toujours été, et restera, un espace de formation, de rencontre et de dialogue», a indiqué Abdelkader Gonegai, doyen de la Faculté des Lettres et des sciences humaines Ben M'sik et président du Fituc, lors d’un point de presse.

Le FITUC est devenu un modèle dans les domaines de la création et l’encadrement et une pépinière des jeunes où ils ont l’occasion de se rencontrer et de se former pour aller de l’avant et se forger une vie personnelle et professionnelle.

La 29e édition réunira des troupes universitaires venant de plusieurs pays, notamment la Corée du Sud, la Russie, le Mexique, l’Allemagne, la France, l’Égypte, la Tunisie, l’Algérie et la Palestine. Les organisateurs ont choisi pour cette édition, dont l'Italie est l’invité d’honneur, la thématique «Action, aspect du théâtre contemporain».

«Le choix du thème de cette édition est motivé par le fait que le mouvement a touché tous les domaines et est devenu une particularité centrale du théâtre contemporain qui se base essentiellement sur le corps, négligeant, souvent, le texte», a expliqué Abdelkader Gonegai lors du point de presse.

L’ouverture de ce festival sera marquée par la présentation du spectacle «Shehrazade, les mille et une nuit» par le ballet de Milan. Un spectacle qui révèle l’histoire de cette jeune fille qui aura la vie sauve à chaque aube grâce aux récits qu’elle raconte au sultan.

Par Khalil Ibrahimi
Le 03/07/2017 à 19h15