Vidéo. Zouhair Bahaoui signe le clip officiel de la série "Souwlo Dmou3i" dans laquelle il joue

Un style moderne, des décors variés, un stylisme soigné… autant dire que la production de Souwlo Dmou3i a fait les choses en grand pour sa première série avec pour ambition de rivaliser avec les séries turques. 

Le clip officiel de la série, interprété par Zouhair Bahaoui, lui-même acteur principal, en est un bel aperçu et a déjà su conquérir le coeur des internautes avec plus de 870.000 vues depuis sa publication le 15 juin sur YouTube.

Autre point fort de cette série réalisée par Brahim Chkiri et produite par Med Production, un casting impressionnant avec pas moins de vingt et un acteurs: Zouhair Bahaoui, Kalila Bounaylat, Ouidad El Majati, Kaoutar Boudrraja, Rabie El Kati, Benyounes Megri, Siham Assif, Noufissa Benchehida, Oussama Batstaoui, Karima Gouit, Rabie Skalli, Sahar Seddiki, Kamar Saadaoui, Rafik Boubker, Yassin Ahajjam, Abderrahim Elmaniari, Yousra Bouhmouch, Noujoum Elzouhra, Youssef Benhayoune, Souad Najjar et Mohammed Kafi.

«C’est la première fois qu’une série marocaine propose un casting aussi étoffé» précise la productrice de la série, Raja Hassani, pour Le360, d’autant, qu'une fois n'est pas coutume, plusieurs générations d'acteurs se côtoient sur petit écran. 

Tournée à Marrakech pendant trois mois, la série, qui compte trente épisodes qui seront diffusés du lundi au vendredi à 21h00, raconte l’histoire de Salima et Myriam, deux sœurs placées en orphelinat que le destin va séparer dès leur plus jeune âge.

Chacune d'elles va évoluer dans des circonstances différentes et si Salima a la chance d’être adoptée par une famille bourgeoise, Myriam, elle, va s’échapper de l’orphelinat et se retrouver livrée à elle-même.

Mais quelques années plus tard, sans que cela soit prémédité, leurs chemins vont être amenés à se recroiser. Elles qui rêvaient d’être réunies à nouveau vont se retrouver mais, ironie du sort, en tant que rivales, étant toutes deux amoureuses du même homme, dont le rôle est interprété par Zouhair Bahaoui.