La Banque populaire apporte son soutien au secteur de la chimie et de la parachimie

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Dans la continuité de son programme de soutien aux écosystèmes industriels, la Banque populaire vient de signer une convention de partenariat avec la Fédération de la chimie et de la parachimie (FCP). Les détails.

Le 23/07/2019 à 11h33

Cette convention vise à accompagner des entreprises du secteur de la chimie et de la parachimie, à travers une offre dédiée, comprenant des solutions de financement et une panoplie de prestations non-financières, souligne la Banque populaire dans un communiqué.

La signature a eu lieu en marge de l’assemblée générale ordinaire de la FCP, le 16 juillet dernier à Casablanca, en présence de plusieurs responsables de la banque et de ses filiales métiers.

Ce partenariat se traduit, d’abord, par la mise en place d’offres de financement qui répondent aux préoccupations des entreprises du secteur, notamment en matière d’efficacité énergétique, d’investissement étranger, de développement des exportations, ainsi que de transmission et d’acquisition d’entreprises.

Il prévoit également un dispositif d’accompagnement comprenant des services de business networking, de formation et de conseil.

L’intervention à cette occasion de Soumia Alami Ouali, directrice générale adjointe en charge de la banque de l’entreprise, a porté sur les enjeux du secteur, les attentes des opérateurs ainsi que les réponses apportées par la Banque populaire.

«Notre objectif, au sein de la Banque populaire, est de permettre à ce secteur dynamique d’atteindre son plein potentiel, en apportant la meilleure réponse aux besoins des entreprises des deux écosystèmes de la chimie verte et de la chimie organique, sans exclure les autres membres de la FCP et les écosystèmes à venir», a-t-elle assuré.

A travers ce partenariat stratégique, la Banque populaire confirme sa volonté de donner une impulsion au développement des Très Petites et Moyennes Entreprises (TPME) en général, et celles du secteur de la chimie et de la parachimie en particulier, et de contribuer ainsi, aux côtés de l’Etat et des organisations professionnelles, à soutenir les écosystèmes industriels performants, pour la création d’une valeur ajoutée additionnelle, l’amélioration du taux d’intégration et le développement de nouvelles activités à l’export.

Par Ayoub Khattabi
Le 23/07/2019 à 11h33