Scandale. Une journaliste polisarienne de la radio nationale d'Espagne fait l'apologie du terrorisme

Ebbaba Hameida, la journaliste hispano-sahraouie par qui le scandale est arrivé! 

Ebbaba Hameida, la journaliste hispano-sahraouie par qui le scandale est arrivé!  . DR

Si vous avez encore des doutes sur l’affection que le polisario a pour le terrorisme, vous n’avez qu’à vous référer à ce message retweeté par cette activiste séparatiste dénommée Ebbaba Hameida, journaliste à la Radio 24 Horas, où l’éloge d’Abu Bakr al-Baghdadi est scandaleusement manifeste.

Le 29/10/2019 à 11h51

Si la fin du calife présumé de "l'État islamique", Abou Bakr al-Baghdadi, tué le 27 octobre à Najaf, en Irak, a été mondialement saluée, ce n'est pas ainsi que l'ont entendu les activistes du front séparatiste du Polisario. "Abou Bakr al-Baghdadi n'était nullement une menace", lit-on dans un message retweeté par la dénommée Ebbaba Hameida, qui n'est autre qu'une journaliste de la Radio nationale d'Espagne, 24 Horas (voir le tweet ci-contre).

L'intéressée, infiltrée par le polisario au sein d'une radio espagnole publique censée combattre le terrorisme sous toutes ses formes, ne s'est pas arrêtée à ce stade de l'ignominie. Dans le message retweeté par ses soins, le chef de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, est même qualifié de "moujahid". "Abou Bakr al-Baghdadi est le fondateur d'un groupe qui est né pour combattre l'occupation de l'Irak par les États-Unis", peut-on encore lire dans le message posté par cette thuriféraire de l'hydre de Daech, comptable du pire génocide perpétré à l'encontre non seulement des civils innocents en Irak, mais un peu partout à travers le monde, de la Syrie à la Libye, en passant par le Mali, le Burkina Faso, le Nigeria, voire en Europe et en Asie.

Cette ode à la barbarie faite par la dénommée Ebbaba Hameida, au-delà de l'offense faite à la mémoire de milliers de victimes innocentes de la pieuvre terroriste d'Abou Bakr al-Baghdadi, s'inscrit à contresens de l'indignation générale que suscitent les marchands de la mort, les stratèges du chaos généralisé, les fossoyeurs de la vie, lesquels, bien entendu, n'ont strictement rien à voir avec l'Islam.

Elle garde toutefois le mérite de démontrer, à ceux qui doutent encore, l'affection mortifère que le front polisario n'a eu de cesse de témoigner envers le terrorisme international. 

Par M'Hamed Hamrouch
Le 29/10/2019 à 11h51