Orlando Bloom rend hommage à Sidi, son chien adopté au Maroc, avec un tatouage

Sidi et Orlandi Bloom, c’est une belle et longue histoire d’amour qui débute sur le tournage au Maroc de «Kingdom of Heaven», en 2004.

Orlando Bloom tombe alors littéralement amoureux de ce chien errant, au pelage noir, qu’il décide d’appeler Sidi. Une fois le tournage du film terminé, la star entreprend les démarches pour l’adopter et l’emmener avec lui aux Etats-Unis.

Ces deux-là étaient littéralement inséparables, jusqu’à ce que la mort de Sidi les sépare en 2016. Depuis l’acteur a bien du mal à se remettre de cette disparition, au point d’ailleurs d’avoir conservé le squelette de son chien chez lui.

«Je conserve son squelette pour qu’il reste près de moi. Je sais que ça peut paraître étrange pour certaines personnes, mais je continue d’aller lui dire bonne nuit chaque soir», avait confié l’acteur à la presse.

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Il y a deux semaines de cela, Orlando Bloom avait à nouveau exprimé son attachement profond à son chien, en révélant sur Instagram un nouveau tatouage sur son avant-bras: la tête de son chien, et son nom, Sidi, inscrit en dessous.

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Par la même occasion, notre elfe et pirate préféré avait également dévoilé un autre mystérieux tatouage, réalisé aussi sur son bras, donnant à voir une série de chiffres, et un code inscrit en morse.

Invitant ses followers à décoder le tatouage, les internautes n’ont pas tardé à déchiffrer le sens de ce nouveau tatoo, soit les date et heure de naissance du fils de l’acteur, et son prénom inscrit en morse: Flynn.

Ou plutôt Flyrr… Car comme ont pu le relever certains followers avertis, le tatouage en morse comportait une «faute d’orthographe»! L’acteur, reconnaissant envers sa communauté, a donc modifié son tatouage pour corriger cette erreur et a repartagé une nouvelle photo, en se moquant de lui-même.

«Je l’ai finalement bien fait! Comment peut-on faire une erreur pareille? #pinterestfail», a-t-il écrit dans un post, avant de poursuivre: «Heureusement, je sais comment épeler Sidi. Pour toujours mon garçon».

Un beau témoignage d’amour, tant pour son fils que pour son chien.