Aminatou Haidar: profession traîtresse professionnelle et marionnette entre les mains de l'Algérie

Une imposture nommée Aminatou Haïdar. 

Une imposture nommée Aminatou Haïdar.  . DR

Revue de presseKiosque360. Faire un fonds de commerce de la trahison du pays où elle est née, a étudié, réside, détient ses papiers d’identité pour circuler librement, tel est le choix déshonorant fait par Aminatou Haidar. Pour maquiller sa traîtrise, elle s’est voilée en militante des droits de l’homme.

Le 08/10/2020 à 22h17

C’est un portrait sans concession que l’hebdomadaire El Watan  du 8 octobre, brosse de la marionnette des services algériens au Sahara marocain, Aminatou Haidar. «Il est facile, pour qui veut dresser un portrait d’Aminatou Haidar, de trouver le fil d’Ariane qui aide à identifier, sans rique de se tromper, cette personne ayant choisi la trahison à la fois comme profession, passeport et mode pensée», écrit Al Watan.

Aminatou Haidar a ainsi choisi de souiller son honneur, si elle en avait, dans le but de vivre comme une poupée que les généraux algériens gonflent et dégonflent à leur guise. Rien pourtant ne prédestinait cette «fille du Sahara» à devenir un ennemi de cette terre où elle a grandi à l’ombre de ses oasis, étudié dans ses écoles et assimilé sa culture populaire. Par traîtrise, elle a finalement tourné le dos à son pays et à ses proches parents pour se mettre au service d’un agenda anti-marocain, celui pour lequel l’Algérie la paye et la manipule aujourd’hui.

Profitant de l’ouverture politique que le Maroc a amorcée dès le début des années 2000, elle n’a plus cessé de se faire dicter les provocations médiatisées qu’elle se devait de jouer pour défier les autorités de son propre pays. Ainsi, et alors qu’elle vit toujours au Maroc, voyage avec un passeport marocain, cela ne l'empêche pas de renier son pays à chacune de ses sorties-entrées du territoire, en déclarant être ressortissante d’un pays-néant, qui n’existe sur aucune carte du monde.

Les marionnettistes qui tirent ses ficelles de derrière des rideaux sombres, écrit Al Watan, ont réussi à lui confectionner un voile de militante qui défend les droits de l’homme des Sahraouis, hormis bien sûr ceux vivants dans l’enfer des camps de Lahmada près de Tindouf. Avec ce faux masque droit-de-l'hommiste, elle a réussi jusqu’ici à tromper plus d’une ONG et plus d’un lobby internationaux, qui lui ont même décerné des titres honorifiques en bois.

Mais l’éclatement de sa «CODESA», une ONG-gamelle tendue depuis 2005 pour recueillir les prébendes des services algériens et la mendicités d’autres ONG occidentales, a fini par lever le voile sur la supercherie d’Aminatou Haisar, cette dame de pacotille, qui n’est rien d’autre qu’une cheffe de bande de traitres à leur patrie qui se tirent au flanc pour accaparer les miettes que leur jette l’Algérie.

Selon Al Watan, la corde des droits de l’homme étant complètement usée, puisqu’aucune violation n’est plus enregistrée dans le Sahara marocain, l’ONU ayant également appuyé la solution politique prônée par le Maroc, Aminatou Haidar a alors tenté de se lancer sur le terrain politique. La création de la prétendue «Instance sahraouie contre l’occupation marocaine» , une dénomination qui porte ouvertement atteinte à l’unité territoriale du royaume, a été la provocation de trop qui sonnera, dans les semaines à venir, le glas de la taupe algéro-polisarienne dans la capitale des provinces du sud du royaume.

Par Mohamed Deychillaoui
Le 08/10/2020 à 22h17