L'ambassade du Maroc au Panama officiellement inaugurée

Salaheddine Mezouar, ministre des Affaires étrangères et de la coopération.

Salaheddine Mezouar, ministre des Affaires étrangères et de la coopération. . DR

Le ministre des Affaires étrangères et de la Coopération, Salaheddine Mezouar a présidé, mardi, la cérémonie d'inauguration officielle de l'ambassade du royaume du Maroc en épublique du Panama.

Le 13/01/2016 à 09h41

La cérémonie d'inauguration de la représentation diplomatique du royaume a été marquée par la présence d'un parterre de hauts responsables et de politiques, notamment le vice-ministre des Affaires étrangères, chargé des relations extérieures, Amael Candanedo, et le président de la Cour suprême, José Ayu Prado, ainsi que des membres du corps diplomatique accrédité au Panama.

Intervenant à cette occasion, M. Mezouar a déclaré que l'ouverture de l'ambassade du Maroc au Panama constitue "un gage de confiance envers l'autre, et un message qui confirme la détermination du Maroc à bâtir un partenariat tourné vers l'avenir, à même d'assurer plus de prospérité pour les deux pays et les deux peuples".

Il a également souligné la nécessité d’œuvrer de concert avec le Panama, un partenaire sérieux et crédible, afin de "relever les défis communs dans un monde qui érige le renforcement de la coopération Sud-Sud en clé de voûte pour l'avenir".

Pour M. Mezouar, l'ouverture de l'ambassade du Maroc s'inscrit en droite ligne de la philosophie de la politique étrangère du royaume, menée sous la conduite éclairée du roi Mohammed VI, et qui est basée sur le raffermissement des liens Sud-Sud, en particulier avec l'Afrique et l'Amérique latine, deux piliers de la réalisation du progrès et d'un équilibre pérenne dans le monde actuel.

Le responsable marocain a noté que sa visite au Panama incarne l'engagement du Maroc à aller de l'avant dans la promotion des relations d'amitié entre les deux pays, couronné par l'ouverture de leurs ambassades respectives, notant que "nous avons beaucoup à faire, beaucoup à apprendre l'un de l'autre, mais surtout nous avons des intérêts communs à défendre".

Le 13/01/2016 à 09h41