Le séparatiste Ali Salem Tamek déteste le Maroc, mais se fait opérer dans ses hôpitaux militaires

Ali Salem Tamek, lors d'une manifestation de séparatistes au Sahara Marocain.

Ali Salem Tamek, lors d'une manifestation de séparatistes au Sahara Marocain. . DR

Ali Salem Tamek, membre dirigeant de la Codesa et séparatiste notoire, a été admis à l’hôpital militaire de Guelmim. Il y a été opéré, mercredi 17 novembre, apprend Le360 de sources informées.

Le 18/11/2021 à 10h01

Opportunistes jusqu’au bout des ongles et avec la haine du Maroc comme moteur de leur existence, les séparatistes du Polisario n’hésitent pourtant pas à profiter des services mis à la disposition de tous les citoyens par le Royaume.

Ainsi, de sources informées, nous apprenons que le dénommé Ali Salem Tamek, membre dirigeant de la Codesa, a été admis depuis plusieurs jours au cinquième hôpital militaire de Guelmim. Il y a subi une intervention chirurgicale, mercredi 17 novembre 2021. Une opération qui, selon nos sources, s’est déroulée dans de très bonnes conditions.

Sur les réseaux sociaux, ses «camarades» lui souhaitent prompt rétablissement sans, à aucun moment, dire qu’il a été pris en charge par ces femmes et ces hommes, membres de la médecine des Forces armées royales (FAR) qui sauvent des vies, au Maroc et ailleurs.

Ali Salem Tamek n’aurait-t-il pas pu, au risque de sa vie, se déplacer dans un hôpital de Rabouni où résident ses maîtres? Ou alors se faire admettre dans l’un des établissements du «meilleur système de santé», l’algérien en l’occurrence comme le clame le président Tebboune?!

Ce séparatiste est connu pour ses démêlés avec la justice marocaine à cause de son activisme pro-Polisario et surtout ses multiples tentatives de provoquer des actes de violence au Sahara. Des actes financés par l’Algérie où il a l’habitude de se rendre pour, entre autres, assister aux congrès du Polisario.

A la Codesa, des litiges autour de ces financements ont suscité des litiges avec la présidente Aminatou Haïdar, au point de déboucher sur une scission. 

Par Rahim Sefrioui
Le 18/11/2021 à 10h01