Siemens rejette les chantages du Polisario

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Revue de presseKiosque360. Le groupe international Siemens, spécialisé dans les hautes technologies et présent dans les secteurs de l’industrie, de l’énergie et de la santé, a catégoriquement rejeté les chantages exercés par le Polisario et ses commanditaires quant aux investissements dans le Sahara marocain.

Le 05/02/2018 à 20h21

Le Polisario et ses commanditaires broient du noir suite à leurs déboires à l’ONU, en Afrique, en Amérique ou en Europe, dans leurs tentatives de porter préjudice à l’intégrité territoriale du royaume. Après leurs échecs politiques et diplomatiques, les séparatistes et leurs lobbys viennent d’essuyer un nouveau revers sur le terrain de l’économie et des investissements.

En effet, le Groupe international Siemens, spécialisé dans les hautes technologies et présent dans les secteurs de l’industrie, de l’énergie et de la santé, vient d’infliger un véritable camouflet au Polisario en refusant catégoriquement ses chantages quant aux investissements dans le Sahara marocain.

Le quotidien Akhbar Al Yaoum, qui rapporte cette information dans son édition de ce mardi 6 février, précise que, lors de son dernier conseil d’administration, le Groupe Siemens a affirmé que «les investissements dans le Sahara marocain étaient conformes à la réglementation internationale». Ainsi, «la politique d’investissement du Groupe au Sahara sera maintenue et poursuivie», a annoncé le Groupe.

Cette annonce, souligne le quotidien, est une réponse claire aux campagnes médiatiques et autres manœuvres orchestrées par le Polisario et ses commanditaires au niveau des différentes institutions de l’Union européenne. Car, poursuit la publication, le Polisario et ses connexions financées en Europe ne lésinent pas sur les moyens pour vendre leur thèse aux gouvernements européens et les dissuader de soutenir les politiques d’investissement des entreprises européennes dans le Sahara marocain. Mais cette thèse est devenue invendable, en dépit des moyens colossaux investis par le Polisario et ses commanditaires.

Par Mohamed Younsi
Le 05/02/2018 à 20h21