Diapo. Transports publics, l'autre galère ramadanesque des Casablancais

Le360 : Adil Gadrouz

Prendre un taxi ou un bus en temps normal à Casablanca est déjà un parcours du combattant. Pendant Ramadan, la situation est encore plus chaotique. Il faut poireauter un bon moment pour rentrer chez soi. Reportage dans quelques arrêts de bus et stations de taxis de la métropole.

Le 16/06/2016 à 11h43