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Les confessions de Ronaldo sur son accusation de viol

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Suite des confessions de Cristiano Ronaldo. En plus d'avoir évoqué avec beaucoup d'émotion son défunt père dans une interview avec la chaîne ITV, le Portugais a raconté comment il a vécu les accusations de viol de Kathryn Mayorga et leur médiatisation.

Cristiano Ronaldo, la star de la Juventus Turin accusée de viol en 2009 avant que la justice américaine décide de ne pas le poursuivre faute de preuves, a admis qu'il s'était alors "senti mal" parce que sa "dignité" et son "honnêteté" avaient été mises en cause.

"Ils ont joué avec ma dignité. C'est dur. J'ai une compagne, une famille, des enfants. Quand votre honnêteté est mise en cause ça fait mal", a notamment déclaré CR7 lors d'une interview accordée à Piers Morgan dans l'émission "Good Morning Britain" à diffuser mardi.

"Je me souviens qu'un jour, je regardais les informations à la télé avec ma compagne dans notre salon, et où ils parlaient de Cristiano Ronaldo, ceci, cela. Dès que j'ai entendu mes enfants descendre les escaliers, j'ai changé de chaîne parce que j'étais dans l'embarras. Je ne voulais pas que Cristiano Jr voie et entende des critiques sur son père dans une très mauvaise affaire", a ajouté le champion d'Europe 2016 avec le Portugal.

Une ancienne mannequin américaine, Kathryn Mayorga, âgée de 35 ans, a accusé le quintuple Ballon d'or de l'avoir violée en 2009 dans une chambre d'hôtel de Las Vegas. L'ancienne star de Manchester United et du Real Madrid a toujours nié ces allégations.

Le 13 juin 2009, la plaignante avait appelé la police de Las Vegas pour dénoncer un viol, mais avait refusé d'identifier son agresseur. Le dossier avait alors été refermé. En 2010, elle avait passé un accord au civil avec Cristiano Ronaldo à ce sujet. En août 2018, elle avait repris contact avec la police de Las Vegas en demandant la réouverture de son dossier et avait accusé pour la première fois le footballeur.

Le 22 juillet, la justice américaine a décidé de clore le dossier en expliquant que "sur la base des informations disponibles", ces "accusations ne peuvent pas être prouvées au-delà d'un doute raisonnable".

Par Le360 (avec AFP)

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