Même s’il n’a pas disputé la moindre minute lors de la Coupe du monde 2018, tenue en Russie et remportée avec brio par l’équipe de France, Adil Rami reste le Tricolore le plus en vue de l’armada de Didier Deschamps – médiatiquement parlant. Et le plus exposé aussi. Sa relation avec la célèbre actrice et mannequin américano-canadienne en est sans doute à l’origine de ce grand intérêt médiatique.
Leur séparation a fait couler beaucoup d’encre. D’autant plus que l’héroïne d’«Alerte Malibu» l’accusait de violences conjugales.
Adil Rami affirme dans cette entrevue n’avoir jamais levé la main sur son ex-compagne. «J'ai tous les messages sur trois téléphones. Les messages pendant deux ans, ça ne ment pas. Il n'y avait pas un "Tu m'as frappée", que des lettres d'amour, des poèmes», a-t-il confié à So Foot et dont les propos sont reproduits par Paris Match.
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Selon le joueur du club russe FK Sotchi, la cause de ces heurts est la surexposition médiatique.
«J'ai bataillé pendant deux ans avec Pamela pour ne pas être dans les gossips, parce que ce n'est pas mon monde. J'avais quand même des paparazzis devant chez moi, à Marseille, en plein centre-ville, dans le VIIIe. On s'embrouillait souvent à cause de ça, elle et moi», se justifie-t-il.
Adil Rami en Une de "So Foot", paru ce jeudi 18 juin 2020.
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