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Nom Amrabat, profession Boraq

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L’attaquant des Lions de l’Atlas, Nordin Amrabat, s’est encore baladé cet après-midi au stade Al Salam face aux Sud-Africains. L’autre TGV marocain?

Même s'il n'a pas encore marqué de but dans cette compétition, le joueur d’Al Nassr (Arabie saoudite) est celui par lequel le danger arrive côté marocain. Aimantant tous les ballons, Amrabat est capable de dynamiser le jeu sur une passe ou une course.

Contre la Côte d’Ivoire et alors que les Lions de l’Atlas n’étaient pas au mieux dans les premières minutes, c'est lui qui a sonné la révolte, invitant ses coéquipiers à se défaire de leurs crispations. Et son accélération, conclue par une passe décisive sur le but de Youssef En-Nesyri, a offert la victoire et la qualification à l’équipe nationale. Ce n'est d'ailleurs pas un hasard si le numéro 16 marocain a été élu homme du match par la CAF.

Face à l’Afrique du Sud, il a fait vivre un véritable cauchemar à son vis-à-vis, le latéral droit des Bafana Bafana, Thamsanqa Mkhize, étourdi par les dribbles et les courses du Lion.

D’ailleurs une de ces dernières a failli faire mouche en première mi-temps, lorsque le Nassaroui s’échappe sur la gauche pour adresser un centre qui effleure la tête de Youssef En-Nesyri, seul face au gardien.

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Amrabat s’est aussi distingué par son repli défensif pour épauler le jeune Achraf Hakimi, dépassé dans le couloir.

En seconde mi-temps, l’ailier s’est cantonné à un rôle plus défensif suite à la pression exercée par les Sud-Africains. 67e minute passe dans le dos de la défense En-nesyri croit tout faire en dribblant le gardien mais manque complètement son tir qui passe à côtes des cages complètement vides.

À la 71e minute, Amrabat adresse à nouveau un centre millimétré sur la tête de l’attaquant de Leganés qui cadre cette fois-ci, mais son ballon arrive dans les mains de Ronwen Williams.

Alors que le match se dirigeait doucement vers un score nul et vierge, un résultat qui offre la tête au Maroc et une qualification aux Sud-Africains, Mbarek Boussoufa surgit de nulle part et crucifie les Bafana Bafana

Par Mohamed Yassir

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