Filinfo

Foot

Un public trié sur le volet a assisté au dernier match des Lions de l'Atlas

Les Lions de l'Atlas face à la Guinée, mardi 16 novembre. © Copyright : DR
Kiosque360. Le public déplore la présence de quelques artistes et leurs familles dans les gradins lors de la rencontre Maroc-Guinée de mardi dernier. Selon le quotidien Assabah, dont est tirée cette revue de presse, le public ne comprend pas pourquoi on lui interdit ce qu'on permet à certains.

Les Lions de l'Atlas ont battu ce mardi la sélection guinéenne sur la pelouse du Complexe Moulay Abdallah de Rabat. Mais ce qui a le plus marqué le spectateur marocain, c’est la présence inhabituelle du public.

Dans Assabah daté du 18 novembre, on apprend qu’il s’agissait d’une brochette d’artistes, comme les décrit le quotidien. Ces derniers ont suivi la rencontre aux côtés de dirigeants de la FRMF et de leurs familles.

Le public marocain s’est indigné suite à cette présence au moment où il est interdit de stade depuis plus de 18 mois, sans pour autant avoir une idée sur la date de réouverture. Les amateurs de football déplorent même qu’aucun dirigeant n’a pris le temps d’expliquer pourquoi ils n’ont toujours pas pu suivre un match depuis les gradins.

Le quotidien explique que les supporters marocains espèrent un traitement égal, tout en précisant que la sélection nationale appartient à l’ensemble du peuple. 

Le public s’est interrogé sur la méthode avec laquelle ces artistes ont pu suivre le match depuis les gradins du Complexe Moulay Abdallah, au moment où les autorités refusent catégoriquement de laisser d'autres assister aux rencontres de la Botola. D'ailleurs, les autorités concernées ont même allégé les restrictions liées à la pandémie mais n’ont jamais voulu ouvrir les portes des stades.

Par Ismail El Fassi

Tags /


à lire aussi /


Commenter cet article
Oups ! il semble que votre name soit incorrect
Oups ! il semble que votre e-mail soit incorrect
Oups ! il semble que votre commentaire est vide

Oups ! Erreur de valider votre commentaire

Votre commentaire est en attente de modération

Filinfo

Retrouvez-nous