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Polémique: le rikiki Hafid Derradji fait marche arrière

Hafid Derradji, la voix de ses maitres. © Copyright : DR
Après avoir essuyé une véritable volée de bois vert, le commentateur sportif algérien de la chaîne qatarie beIN Sports s’est rétracté. Mais il l’a fait de la manière d’un loser, qui n’a pas le sens du fair-play.

Hafid Derradji a suprimé sur ses comptes Tweeter et Facebook tous les posts qu’il avait commis récemment sur le Maroc et ses institutions.

Le commentateur sportif algérien a essuyé une véritable volée de bois vert après s’en être pris, avec outrecuidance, bassesse et sans vergogne, au Royaume et à ses symboles.

Ses collègues marocains, nombreux à la chaine beIN Sports, l’ont remis à l’ordre, lui disant ses quatre vérités et lui rappelant son comportement de caméléon surtout quand il dézinguait le régime algérien avant d’être à sa solde.

Hafid Derradji avait visité le Maroc et était bien accueilli. Cette hospitalité, qu’il l’a tant louée sur les réseaux sociaux, a, semble-t-il, cédé la place à une haine implacable qui, du reste, ne peut qu’être dictée par ses maitres dont il est devenu la voix depuis qu’il bénéficie de leurs largesses.

En le remettant à sa place, ses collègues journalistes marocains l’ont fait à visage découvert. Et, contrairement à ce rikiki de commentateur, nul ne leur a dicté leur démarche: ils sont animés par l’amour de leur patrie, de leur peuple et de leur roi.

Le Royaume plaide pour la réouverture des frontières avec l’Algérie. Et s’il le fait, ce n’est pas par faiblesse. Au contraire, il le fait par respect du bon voisinage, sachant que ce sont surtout nos voisins de l’Est qui en pâtissent.

Et si le Maroc a proposé son aide pour venir à bout des incendies qui ravagent depuis une semaine le nord de l’Algérie, faisant plus de 90 morts, c’est aussi par égard au bon voisinage.

Hafid Derradji a retiré ses posts insultants à l’encontre du Maroc. S’il avait fait amende honorable, on aurait cru à un dérapage, à un excès de zèle découlant d’une volonté de vouloir plaire davantage à ses commanditaires… Mais tel n’est pas le cas. Tant pis.

Par Khalid Mesfioui

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