Vidéo. Élection du groupe CGEM à la Chambre des conseillers. Ep1 - Avec Myriam Lahlou-Filali

adil Gadrouz / Le360 / Le360

Le 01/10/2021 à 16h32

VidéoDans ce premier épisode de cette série de capsules consacrées à l’élection du groupe CGEM à la Chambre des conseillers, la candidate Myriam Lahlou-Filali expose les grandes lignes du programme porté par les membres de la liste conduite par Abdelilah Hifdi, dont elle fait partie, aux côtés de Neila Tazi et Othman Chrif Alami.

Myriam Lahlou-Filali, directrice générale de Pharma 5, se présente pour la première fois à l’élection des membres qui vont représenter la CGEM à la Chambre des conseillers.

Faisant partie des colistiers de l’incontournable Abdelilah Hifdi (le président sortant du groupe parlementaire de la CGEM), aux côtés de Neila Tazi (fondatrice de A3 Communication, 2ème sur la liste) et de Othman Chrif Alami (PDG du groupe Atlas Voyages, 3ème), Filali-Lahlou (4e) aborde les élections du 5 octobre avec beaucoup de sérénité et de détermination.

«Notre liste a beaucoup d’atouts par rapport aux autres listes. Outre la pluralité des genres (deux hommes et deux femmes), c’est une liste constituée de quatre figures emblématiques de l’économie marocaine, représentant quatre secteurs stratégiques dont deux sinistrés par la pandémie, à savoir le tourisme et la culture», se réjouit-elle.

Ce mardi 5 octobre, la liste Hifdi-Tazi-Alami-Lahlou ainsi que trois autres listes (deux au niveau de la région Casablanca-Settat et une autre relevant de celle de Marrakech-Safi) vont se disputer les quatre sièges réservés à la circonscription Centre, dont le collège électoral est composé de 280 membre.

A la tête d’un fleuron de l’industrie pharmaceutique nationale (Pharma 5), Filali-Lahlou est une fervente militante du Made In Morocco qui, à ses yeux, doit être la priorité numéro un du groupe parlementaire de la CGEM lors de son prochain mandat.

«La pandémie du Covid-19 a démontré à quel point il était indispensable pour notre souveraineté nationale de sacraliser le Made in Morocco», a souligné cette membre du conseil d’administration de la CGEM, également vice-présidente de la Fédération marocaine de l’industrie et de l’innovation pharmaceutiques.

Pour cela, poursuit-elle, il va falloir mettre l’accent sur la substitution des importations par la fabrication locale, la préférence nationale dans la commande publique et, enfin, la charte de l’investissement.

En plus des efforts qui restent à faire en termes d’amélioration du climat des affaires, le programme électoral de Abdelilah Hifdi et ses trois colistiers consacre tout un chapitre à la compétitivité des entreprises marocaines, en misant notamment sur le Plan Maroc Vert, l’inclusion et le capital humain.

Par Wadie El Mouden et Adil Gadrouz
Le 01/10/2021 à 16h32