"En tant que président de l'AFC, l'un de mes devoirs est de rechercher les moyens de développer les savoir-faire partagés dans le monde, et d'établir des liens solides avec les professionnels du football ayant des vues convergentes", explique le Cheikh Salman.
"Voilà pourquoi il existe des protocoles d'entente semblables entre l'AFC et l'instance mondiale du football, la Fifa, ainsi qu'avec deux autres confédérations, à savoir l'Uefa et la Concacaf", affirme-t-il encore en assurant que les négociations entre la CAF et l'AFC avaient débuté "plus de cinq mois" avant qu'il déclare sa candidature à la Fifa.
Le protocole d'entente a été signé vendredi à Kigali, au Rwanda, par le Cheikh Salman et Issa Hayatou, président de la CAF et président par intérim de la Fifa. Il porte sur l'organisation de compétitions et des programmes de développement, et pourrait être un premier pas vers un soutien de l'Afrique au Cheikh bahreïni Salman dans la course à la présidence de la Fifa.
"J'ai écrit à la commission électorale ad hoc de la Fifa pour lui faire part de ma préoccupation et lui demander de se pencher sur ce problème", avait écrit le Prince Ali samedi dans un communiqué.