Les violences dans et aux abords des stades ont pris des proportions fort inquiétantes. Une jeune supportrice, venant encourager son équipe fanion, a perdu récemment la vie aux alentours du «Stade d’Honneur». Il y a bien longtemps que le signal d'alarme avait été tiré.
Le président de la Fédération royale marocaine de football (FRMF), Fouzi Lekjaa, fait l’objet d’une grande campagne de dénigrement, orchestrée par la junte algérienne. Mais, si cette cabale a pris une grande ampleur ces derniers jours, c’est mal connaitre les Marocains qui savent séparer le bon grain de l’ivraie, en se rangeant derrière le patron du football national et défendant pleinement sa cause.
Le Jury disciplinaire de la Confédération africaine de football (CAF) n’a pas daigné sanctionner l’Algérie pourtant coupable de plusieurs manquements corroborés par des faits incontestables ou immortalisés par les caméras. Il faut dire que la VAR de la CAF n’y a vu que dalle.
Petit Mandela, la brebis galeuse du clan du leader historique d'Afrique du Sud, a empoché une fortune à Alger pour attaquer le Maroc. Avec le résultat que l'on sait. La junte n'est pas satisfaite et doit trouver autre chose. En attendant, il lui faudra gérer une pénurie d'œufs et le scandale de la viande d'ânes et de chats vendue aux Algériens.
Avec le Championnat d’Afrique des nations (CHAN 2022), la junte algérienne a dévoilé son vrai visage. Elle s’est servie malencontreusement de cet évènement footballistique pour régler des comptes politiques, au détriment des valeurs sportives. En définitive, la plus belle junte du monde ne peut donner que ce qu’elle a.
La junte militaire en Algérie tient mordicus à ne pas ouvrir son ciel même pas à une équipe de foot, du reste pacifique, en vue du CHAN 2022, quitte à se compromettre aux yeux de la communauté internationale. Face à cet entêtement boudeur, la décision de la FRMF est on ne peut plus logique.
Le Maroc accueille, entre le 1er et le 11 février 2023, la Coupe du monde des clubs, dont les matchs de dérouleront à Tanger et Rabat. Une nouvelle occasion pour le Royaume de prouver ses capacités organisationnelles. L’occasion aussi de célébrer dans les gradins l’exploit des Lions de l’Atlas au Mondial 2022.
Walid Regragui, premier cadre technique africain et arabe à mener son équipe aux demi-finales d'une Coupe du monde, est candidat au prix du meilleur sélectionneur national au monde. Arrivé à ce stade, avec cette nomination historique, est déjà un exploit en soi pour le sélectionneur national et le football marocain.
L’équipe nationale entamera son aventure en Coupe du monde 2022, le mercredi 23 novembre, face à la Croatie. En attendant, les Lions de l’Atlas ont remporté une victoire (3-0), en amical, face à la Géorgie. Bon pour le moral. Et, surtout, de quoi inciter à se mobiliser autour de Walid et ses poulains.
Alors qu’ils venaient d’être sacrés champions du Maroc, les joueurs du Wydad de Casablanca et les différents staffs du club ont eu droit à Oujda, mercredi 29 juin, à des jets de pierres au lieu de bouquets de fleurs. Les venimeux hooligans sont passés par là. Diablement triste.
Malgré les piètres prestations du team national et les protestations des supporters marocains, le sélectionneur Vahid Halilhodzic s’accroche mordicus à son poste, au grand dam des voix qui souhaitent son remplacement. Alors qu’il est même, aujourd’hui, esseulé, il n’en démord pas.
En remportant, dimanche 5 juin, son 14e Roland-Garros, Rafael Nadal s’est hissé un peu plus dans la légende du tennis. Le Matador espagnol (36 ans), plus solide mais surtout plus complet techniquement, étonne et détonne. Chapeau bas!
