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Ounahi explique comment Harit l’a convaincu de choisir l’OM

Azzedine Ounahi, joueur marocain de l'Olympique de Marseille. © Copyright : AFP
«C'était un choix naturel», a déclaré jeudi l'international marocain Azzedine Ounahi à propos de sa décision de rejoindre l'Olympique de Marseille, où son compatriote Amine Harit, dit-il, a joué en outre «un vrai rôle» pour le convaincre de venir.

Azzedine Ounahi, nouvelle recrue marocaine de l’Olympique de Marseille, a accordé une interview à l’AFP. Le Lion de l’Atlas a d’abord expliqué les raisons qui l’ont poussé à choisir le club phocéen, lui, qui était convoité par plusieurs écuries européennes.

«Pendant la Coupe du monde, j'ai discuté pendant plus de 30 minutes avec le président (Pablo Longoria, NDLR). Il m'a dit qu'il me voulait vraiment. C'est vrai qu'il y a eu des discussions avec d'autres clubs, mais l'OM est un grand club européen et le plus grand club en France. C'est un vrai club, c'était un choix naturel», a déclaré l’ancien milieu de terrain d’Angers.

Le Casablancais a ensuite révélé le rôle joué par son compatriote Amine Harit: «quand il est arrivé à Doha, je pensais que c'était pour nous soutenir, mais ça a été direct convocation dans sa chambre (rires). 'Allez, il faut que tu viennes, c'est un grand club'. Il était pressé, il m'a parlé du groupe, de la ville...C'est un frère pour moi, j'ai hâte qu'il revienne (Harit, grièvement blessé juste avant le Mondial, sera absent jusqu'à la fin de la saison, NDLR) et de pouvoir jouer avec lui. Il a eu un vrai rôle dans ce transfert».

L’international marocain a également comparé Marseille à Casablanca: «il y a de l'ambiance, ça vit pour le foot, C'est ce que j'aime. Au Maroc, ils adorent le club et là, avec deux Marocains, ils vont être derrière nous. Ca va être Dima Marseille! (Vive Marseille , NDLR)».

Enfin, Ounahi est revenu sur son premier match disputé avec l’OM: «c'est comme avec Angers. Je venais du National et pour mon premier match en L1, je touche le poteau et je marque. Hier, je suis entré sans aucun stress, pour prendre du plaisir et aider le groupe. Quand je suis entré, j'ai senti qu'il y avait des espaces et la place pour marquer. Après, je fais contrôle, crochet, crochet, but. C'est facile!»

Par Le360 (avec AFP)

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