Après une victoire difficile lors de la première rencontre en Coupe d’Afrique des nations face à la Namibie, le Maroc rencontre la Côte d’Ivoire ce vendredi au stade Assalam.
Le deuxième match des Lions de l’Atlas devrait être encore plus difficile en raison de la sensibilité de la rencontre et la rivalité entre ces deux puissances footballistiques du continent. Il s’agit en effet d’une rencontre avec un goût de revanche pour les Ivoiriens, défaits deux fois par le Maroc. Une première fois lors de la phase de poules de le CAN 2017 et puis une deuxième fois lors des éliminations de la Coupe du monde 2018, rappelle le quotidien arabophone Al Massae dans son édition du jeudi 27 juin.
Les protégés d’Hervé Renard doivent faire face à une deuxième contrainte, à savoir la faiblesse et l’absence d’efficacité dans la ligne d’attaque. D’ailleurs les Lions de l’Atlas ont enchaîné trois matchs successifs sans inscrire le moindre but. C’était depuis le dernier match du Maroc en éliminatoires de la CAN 2019 contre le Malawi, en passant par le match face à l’Argentine à Tanger, pour arriver à la confrontation amicale face à la Gambie à Marrakech. Ce n’est que lors de la dernière rencontre préparatoire pour la CAN 2019 contre la Zambie que les Marocains ont réussi à marquer deux buts. Toutefois les deux buts n’ont servi à rien, puisque les Lions de l’Atlas se sont inclinés par 3-2.
Le quotidien arabophone explique également que le facteur chaleur est la troisième contrainte qui pourrait poser un problème aux joueurs. En effet, les joueurs en avaient souffert lors du match contre la Namibie et les choses risquent d’empirer car les prévisions météo annoncent une chaleur avoisinant les 41 degrés pour les deux prochains jours au Caire.
En plus de toutes ces contraintes, le technicien français doit trouver une solution à la problématique des blessures qui ont touché Younès Belhanda, Marouane Da Costa et Noussair Mazraoui. La question qui se pose est donc de savoir si Renard prendra le risque de titulariser ces joueurs essentiels face aux Eléphants.
1 commentaires /