Vidéo. L’an II d’Achraf Hakimi au Paris SG: le Lion de l’Atlas dit tout

Dans une interview accordée au site officiel du Paris Saint-Germain, Achraf Hakimi revient sur le début de saison rêvé de son équipe. «Commencer la saison avec Trophée, il y a pire… Et trois victoires en trois matches, c’est un début de saison prometteur!», affirme-t-il notamment en référence au Trophée des Champions, remporté le 31 juillet face au FC Nantes.

«La vérité c’est que nous nous sommes beaucoup entraînés pendant la pré-saison avec notre nouveau coach, avec le nouveau système, et que nous nous comprenons aussi très bien après un an ensemble», ajoute le latéral droit.

Le défenseur marocain s’exprime ensuite au sujet de la rencontre avec Lille, ce dimanche 21 août (19 heures 45), dans le cadre de la 3e journée de Ligue 1: «je me rappelle bien de l'année dernière, et c’était l'un des adversaires les plus durs que nous ayons rencontré pendant la saison. Je pense que ce sera un match très agréable à jouer et à regarder».

Christophe Galtier, entraîneur des Parisiens, connait bien Lille, pour l’avoir coaché entre 2017 et 2021. Hakimi porte d’ailleurs un regard bienveillant sur les débuts du technicien français sur le banc du PSG: «vous pouvez très bien voir comment il est les jours de matches, sur le bord du terrain. Mais en dehors de ça, c'est quelqu’un de drôle, qui sait plaisanter avec les joueurs, qui est proche d'eux, qui essaie de leur donner de l'affection. Et c’est vrai qu’on peut le ressentir, et ça nous donne de la confiance durant les matches».

Le Lion de l’Atlas parle ensuite de son premier but de la saison, inscrit le 6 août, face à Clermont (5-0): «grâce au système, j'ai plus d'opportunités car je suis beaucoup plus haut placé et surtout, j'ai plus de confiance en moi. Je me sens très bien avec mes coéquipiers et j'essaie de profiter des opportunités que j'ai. J'espère que d'autres buts viendront!».

Il évoque ensuite sa relation avec Sergio Ramos, défenseur central du PSG, dont il est très proche sur et en dehors des terrains, c’est d’ailleurs le joueur avec qui il échange le plus de ballons: «c’est vrai qu'on se comprend et que ça se reflète aussi en dehors du terrain. On a une belle amitié, on essaie de la transmettre en match pour que la connexion passe bien, surtout que c'est le coéquipier dont je suis le plus proche sur le terrain. On parle beaucoup, il m'aide pour tout et me donne beaucoup de conseils».