On verra, on verra…
Ce n’est pas le Chef du gouvernement, que certains appellent déjà «monsieur on verra», qui doit décider du sort de la Botola, mais bien la Fédération!
Ce n’est pas le Chef du gouvernement, que certains appellent déjà «monsieur on verra», qui doit décider du sort de la Botola, mais bien la Fédération!
Entre programmation infernale et imbroglio juridico-financier (contrats sponsors, droits télé, joueurs en prêt ou en fin de contrat), il faudrait un miracle pour que la saison aille à son terme. Mais l’espoir existe, même s’il est mince.
Il y a longtemps que le Maroc n’a plus «exporté» un joueur dans les meilleurs championnats européens. Il doit y avoir une raison...
Les matchs ressemblaient à des parties de chasse ou de fantasia. Ça avait son charme, si on veut. Mais de là à dire que c’était mieux avant…
Derrière chaque homme il y a une femme, et derrière chaque club un président. Dont quelques uns, c’est sûr, iront au paradis. Tant ils ont apporté à leur sport, à leur club et à leur pays.
On dit que c’est à cause de ces fameux et interminables échanges Bouyahiaoui–Zaki / Zaki–Bouyahiaoui que la FIFA, exacerbée, a fini par changer les règles du jeu…