Dites oui, dites non, mais dites quelque chose!
Si le gouvernement continue de se cacher, la fédération doit assumer ses responsabilités et nous dire si la Botola reprendra. Ou pas. Mais tout de suite, parce qu’il y a le feu!
Si le gouvernement continue de se cacher, la fédération doit assumer ses responsabilités et nous dire si la Botola reprendra. Ou pas. Mais tout de suite, parce qu’il y a le feu!
Ne ratez pas la toute nouvelle série qui revient sur la corruption qui ronge le football mondial et le fait ressembler à un gigantesque marché de dupes.
Le meilleur moyen d’oublier un titre perdu est d’en gagner un nouveau. La motivation est là. C’est le meilleur cadeau que le Wydad puisse offrir à son magnifique public.
Pourquoi le Maroc n’a pas été capable de profiter de ses anciens internationaux? Pourquoi la plupart ont littéralement fui le foot? Pourquoi personne n’est devenu président d’un grand club?
Ce n’est pas le Chef du gouvernement, que certains appellent déjà «monsieur on verra», qui doit décider du sort de la Botola, mais bien la Fédération!
Entre programmation infernale et imbroglio juridico-financier (contrats sponsors, droits télé, joueurs en prêt ou en fin de contrat), il faudrait un miracle pour que la saison aille à son terme. Mais l’espoir existe, même s’il est mince.
Derrière chaque homme il y a une femme, et derrière chaque club un président. Dont quelques uns, c’est sûr, iront au paradis. Tant ils ont apporté à leur sport, à leur club et à leur pays.
Une très belle série raconte l’histoire du football et le secret de sa popularité. A ne pas rater!
Le monde entier a les yeux braqués sur l’Italie… qui espère rejouer au football, alors qu’elle est décimée par le Covid-19.
Pendant ce temps, la CAF, qui dirige le football africain, semble vivre dans un autre monde. Mais qui va vraiment l’écouter?
Luttons contre le coronavirus et, surtout, profitons des derniers matchs de football qui s’offrent encore à nous.
Pour espérer les retrouver dans une finale 100% marocaine, le Raja et plus encore le Wydad doivent arrêter de jouer «petit bras», et se rappeler qu’ils ont des arguments offensifs à faire valoir.